vendredi 14 juin 2013

Holiday in Congo



Oui, c'est bien moi...

Je sais... Je sais ce que tu pensais. Ce que tu ressentais.

Tout d'abord la peur, la peur de ne plus me revoir, moi et mes chefs d'oeuvre ongulaires. (sic)

Mais aussi le doute, le questionnement. Pourquoi m'abandonne t'elle? Que diable lui est il arrivé? 

Je sais, tu n'en dormais plus la nuit. Et pour tout ça pardon. 


Et sinon on arrête deux minutes les c*****ries. Je suis peu présente, pardonne moi, entre ma mission d'archi, mes ongles dans un sale état, le moral en berne à cause de ma recherche d'un (vrai) emploi infructueuse, autant te dire que me faire les ongles devient difficile. 

Mais je te reviens quand même, car ça commence à me manquer ce petit blog, vraiment, même si les calembours ne seront peut être pas nombreux dans mes prochains articles. Mais tu survivras. J'espère. 

Aujourd'hui, après cette délicieuse mise en bouche et sans transition aucune, je vais te parler de mon dernier nail art aztèque.

Les nail arts aztèque/inca/iquat/jenaiplusdesynonyme j'aime bien. J'adore. J'adule même. Mais j'ai un problème. un GROS problème. 

A chaque fois que je commence une manucure aztèque/inca/breftascompris j'ai la même chanson qui me vient dans la tête, une chanson qui m'a déjà inspiré pour le nom d'un bijoux (aztèque pour changer), celle-ci: 



Holiday in Congo de Rainbow Arabia (d'où le titre ahhhhhhhh d'accooooooooooord) qui est, ma foi, une super chanson, mais qui devient légèrement emmerdante quand tu l'as dans la tête à chaque fois que tu vois tes ongles vernis...




Mais comme je suis un peu maso, je continuerai très probablement à faire des manucures aztèques/inca...ok j'arrête. Parce que j'aime bien et qu'il y a plein de possibilité


Je pense que tu as déjà fuit en lisant cela, mais au cas où t'en penses quoi toi des manucures aztèques?

Des bisous mes choux, j'espère revenir vite (probablement avec un article "haul" Iherb ou une revue Iherb, comme vous préférez)